mercredi 28 octobre 2015

Le sycomore de Jéricho


QUESTION : Dans quelle scène de l’évangile Le sycomore joue-t-il un rôle ?

RÉPONSE : Il est fait mention de l’arbre appelé « sycomore » dans l’évangile selon St Luc.


Le sycomore est un arbre à large branche et plutôt  feuillu. Je vous invite à lire le passage où il est question de Zachée et du sycomore Lc 19, 1-10, pour prendre conscience que Zachée pouvait chercher plus à voir Jésus qu’à être vu. Cette première démarche est déjà une mise en présence de Jésus. Notre désir de prier et de servir Dieu est aussi une porte d’entrée dans le service du Seigneur !

lundi 19 octobre 2015

Guérison du paralysé


QUESTION : Comment se nomme le paralysé guéri par Saint Pierre au nom de Jésus ?

RÉPONSE : Énée, est le paralysé guéri  par Saint Pierre au nom de Jésus. Je vous invite à lire d’abord  le texte de Mc 10, 46-52 ou Jn 9,1-41… pour connaître les actions de Jésus. 

Je vous invite à lire ensuite le commentaire des Actes des Apôtres 9, 32-35. L’auteur semble vouloir nous dire que Jésus a vraiment donné à ses Apôtres et à l’Église les pouvoirs de vie et de résurrection.

mardi 6 octobre 2015

La Vulgate


QUESTION: — Dans quelques-uns de vos feuillets antérieurs, vous avez parlé de la Vulgate. Quel est donc ce personnage qui semble avoir tant d'importance dans les études bibliques?
REPONSE: — La VULGATE n'est pas une personne, mais un livre. C'est la traduction latine de la Sainte Ecriture, usitée depuis quatorze siècles dans l'Eglise et déclarée officielle, par le Concile de Trente (1545-1563). Cette traduction est l'oeuvre de saint Jérôme. Elle se compose d'éléments d'origine et de nature différentes: anciennes versions latines qui furent simple­ment transcrites, d'autres versions retravaillées par saint Jérôme, et enfin les traductions que le saint fit lui-même sur des textes hébreux ou chaldéens.
Par amour de la clarté et de l'élégance du style, le traducteur ajoute ici ou là quelques mots brefs d'explication, ou au contraire, il résume quand il constate des répétitions inutiles, il varie la traduction des mêmes expressions. Ainsi la traduction latine de saint Jérôme, qui est la meilleure des versions anciennes de la Bible,  n'est pas absolument parfaite, mais elle est une oeuvre scientifique, le travail d'un lettré.

L'œuvre de saint Jérôme devint la seule en usage dans l'Eglise latine. Elle fut approuvée solennellement par le concile de Trente et elle continue d'être employée dans la pratique quotidienne et la liturgie officielle de l'Eglise. Son texte est étudié officiellement par tous les théologiens du monde catholique. C'est l'instruction provi­dentielle de la révélation divine au sein de l'humanité. La Vulgate est absolument exempte de toute erreur en ce qui concerne la foi et les moeurs, comme le rappelait S.S. Pie XII dans son Encyclique "Divino afflante Spiritu".
Extrait du Feuillet biblique no 29.