mercredi 24 juin 2015

Amour de Jésus pour Jérusalem


QUESTION : Par quelle comparaison Jésus a-t-il exprimé  son amour pour son peuple de Jérusalem ?

RÉPONSE : Jésus a exprimé son amour pour son peuple par la comparaison de l’amour de la poule pour ses poussins  Mt 13, 37 ; Lc 13, 34.


Il pleure sur Jérusalem, sur le Temple abandonné aux mains du peuple infidèle, comme au temps d'Ezéchiel. Cette plainte se mêle à nos prières pour la ville sainte et souillée : « Jérusalem, ville de paix, bles­sée, déchirée... reviens au Seigneur ton Dieu ! » Dans leur pur dénuement, les larmes de Dieu ne cessent de se répandre, baume sur nos cœurs, rosée du matin sur notre terre. Telle une mère déployant ses bras comme des ailes pour ses petits, Jésus fut crucifié, bras étendus entre ciel et terre pour rassembler ses enfants dispersés.
(Dessin pris sur le net)

vendredi 12 juin 2015

Les anges gardiens


QUESTIONS : Que penser de l’existence des anges gardiens?

REPONSE: L'existence des anges en général est clairement attestée par la Bible qui nous en parle à maintes reprises, ne serait-ce qu’en Gn 3, 24 ; dans Job (1-2), Daniel (8-9-10) dans l'Ancien Testament  et dans  le Nouveau Testament (à Joseph, à Marie, aux bergers, à Jésus, aux saintes femmes etc. ). Je vous invite à lire quelque passages soit Mt 2, 13 ou Mt 18, 10…  Le site noté au  bas de la page, vous en donne beaucoup plus !

L’existence d'anges gardiens est aussi affirmée dans la Bible environ 319 fois. Israël comme peuple a un ange qui veille sur lui (Ex 23,20) et les autres nations ont aussi leurs anges protecteurs (Dt 32,8); certains individus, comme Tobie, nous sont décrits avec un ange gardien (Tb 5,4).

La Bible n'affirme pas cependant que chacun de nous possède son ange gardien à lui: c'est là une croyance reçue par les fidèles et approuvée par les autorités. Seule est de foi l'existence des anges en général dont certains sont plus spécialement préposés aux personnes humaines.

Ils conservent en outre leur fonction traditionnelle d'intervention efficace dans leur rôle de gardien des hommes. Ils veillent d'une façon particulière sur les "petits" (Mt 18,10). Ils se réjouissent de la conversion des pécheurs (Lc 15,1).

J’ajoute ce lien, il vous permet de faire une recherche beaucoup plus étendue ou une réflexion sur le sujet :


 

samedi 6 juin 2015

Guérison des aveugles


QUESTION : Quel miracle de Jésus est attaché  à la ville de Jéricho ?
RÉPONSE : Je vous invite d’abord à lire ce court récit de Mt 20, 29-34…
Plusieurs contradictions dans ce court récit. Les aveugles crient et la foule veut les faire taire !
Les aveugles croient au miracle qui peut être fait par Jésus et la foule ne semble pas croire à cette possibilité !
L'aveuglement corporel évoque l'aveuglement spirituel. A ceux qui l'implorent, Jésus donne de voir, de le voir. C'est pourquoi ils se mettent à le suivre sur le chemin qui conduit à la croix.
« Fils de David !  Ce titre donné à Jésus est juste, mais insuffisant. Cette perception imparfaite de la réalité convient bien à des aveugles. Mais, puisqu'ils demandent une meilleure vision, il n'y a rien à leur reprocher.
Les récits de guérison se terminent souvent par l'action de grâce de la foule; puis chacun s'en va chez soi. Ici la reconnaissance s'exprime par un acte: les deux hommes guéris et sauvés suivent Jésus; cette manière de faire caractérise le disciple dont la foi a triomphé des ténèbres.
Il s’agit maintenant de savoir où nous nous situons dans notre foi en Jésus Sauveur, fils de David donné au monde par Marie.

mercredi 3 juin 2015

L'Onction des malades


QUESTION : Comment St Jaques dans son épître parle-t-il d’un sacrement pour les malades ?

RÉPONSE : Je vous invite à lire le Texte de l’Épitre de St Jacques  5, 7-20.

L’Église aujourd’hui nous informe davantage sur les bienfaits de ce sacrement.
« D'abord retrouver l'antique tradition de l'Eglise pour le nom lui-même du sacrement. Nous avions pris l'habitude, depuis le Moyen Age, de l'appeler « extrême-onction », comme pour suggérer qu'il était administré quand on se trouvait à toute extrémité. Désormais on parle du « sacrement de l'onction » ou de l'« onction des malades ».

En second lieu, il est demandé de célébrer ce sacrement dès que la maladie devient une épreuve qui demande courage et lucidité. Il peut être aussi administré à ceux dont le grand âge oblige à modifier notablement la façon habituelle de vivre ».

(Extrait de pour vivre les sacrements, par Philippe Béguerie et Claude Duchesnau de Novalis, 1989, éd. Cerf.)

lundi 1 juin 2015

Je suis le chemin...


QUESTION : A qui Jésus dit-il : « Je suis la Voie, la Vérité et la Vie »

RÉPONSE : En lisant l’Évangile selon St Jean 14, 1-6.
Nous comprendrons que par la réponse de Jésus à Thomas,
nous sommes invité(e)s à abandonner toute spéculation,
tout raisonnement pour décider de suivre Jésus ;
nous sommes appelées à croire à sa Parole.